RDC/politique : L’administration congolaise dépouillée de ses prérogatives de puissance publique par le ministre national des Mines Antoinette kalambayi et le secrétaire général aux Mines Jacques RAMAZANI.

L’administration congolaise dépouillée de ses prérogatives de puissance publique devant par le ministre national des Mines Antoinette kalambayi et le secrétaire général aux Mines Jacques RAMAZANI.

Pas plus tard qu’il y a quelques jours le président de la République Félix Tshisekedi lors de sa prestation de serment a promis d’éviter les erreurs de son quinquennat passé, mais grand et notre étonnement de voir le ministre national des mines Antoinette samba et le secrétaire général aux mines Jacques RAMAZANI signés et exécutés un arrêté nommant des chefs des bureaux en violation de la loi en toute liberté;

Et le conflit entre le ministre national des Mines et de la fonction publique s’envenime

Le scandale lié à la gestion de nomination des agents dans l’administration a considérablement dégradé.

Tout a commencé par un arrêté signé par le ministre national des Mines Antoinette kalambayi en toute violation, cet arrêté n’a pas suivi les normes de la nouvelle administration publique qui a connue plusieurs réformes du ministre JP lihau;

Dont certains agents de la division des Mines sans matricule et non reconnu par l’administration publique ont étés nommés par le ministre national des Mines Antoinette kalambayi, aux postes des chefs des bureaux dans plusieurs provinces de la République démocratique du Congo.

Plus graves encore des agents de la nouvelle unité (NU) se sont retrouvés sur l’arrêté du ministre des Mines, quel gâchis de la part du ministre national des Mines Antoinette kalambayi;

« Ainsi, avec le leadership de JP lihau, le recensement biométrique de tous les agents est devenu une réalité en vue de doter le pays d’un fichier de référence toiletté de l’administration publique étant donné que le développement socio-économique d’un pays est toujours porté par son administration publique qui en constitue une épine dorsale.

C’est dans cette optique que le patron de la Fonction publique s’est engagé, depuis son arrivée à la tête de ce ministère, à relever ce défi qui passe par le redressement de l’administration publique sans laquelle aucun développement n’est possible en RDC.

Le recensement biométrique qui s’est effectué sur toute l’étendue du pays, a perms de détecter les agents fictifs, les doublons, les cumulards et ceux qui utilisent le matricule d’emprunt;

Mais le ministre national des Mines Antoinette kalambayi n’a pas reconnu les efforts fournis par son collègue de l’administration publique, en nommant des agents sans matricule dans la division des Mines en toute violation des dispositions légales.

Lorsque certains arrêtés ministériels de l’administration Publique deviennent rebelle au droit, en violant de manière manifeste la loi, l’une des solutions légales dans un Etat de droit est d’annuler.

Ainsi les ONGs de la société civile demandent au chef de l’état Félix tshisekedi l’annulation de l’arrêté du ministre national des Mines Antoinette kalambayi, nommant des chefs des bureaux fictifs et non reconnus par l’administration publique.

Les sociétés civiles de différentes provinces demandent au directeur de cabinet du chef de l’état d’annuler cet arrêté signé en violation de la loi et excès de pouvoir du ministre national des Mines Antoinette kalambayi,telle est la solution proposée par les sociétés civiles et le syndicat.

La loi électorale en vigueur et la note d’information du directeur de cabinet du chef de l’état n’ont pas autorisée tout candidat député de signer un acte administratif où tout recrutement, engagement, nomination où déplacement à tous les niveaux….

Rédaction


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