Kolwezi : la pluie renforce l’insalubrité particulièrement au marché Manika.

Quand il pleut sur la ville de Kolwezi, l’insalubrité s’amplifie au marché de Manika. C’est une situation qui perdure jour après jours en dépit des efforts de la mairie de la ville que dirige Jacques Masengo Kindele. ici sur la photo c’est le marché de Manika.

si nous avons fait le constat au marché de la cité Manika nous avons eu a faire le même constat au marche de Mwangeji et cette liste reste exhaustive.

Ci et là, des tas d’immondices abandonnés dans les allées du marché se mêlent à l’eau stagnante et à de la boue, formant ainsi des amas fragiles qui ne supportent pas le poids des passants. A côté, des vendeurs et vendeuses leurs articles à même le sol sont en proie des passants qui se bousculent en cette période des festivités. Et fort curieusement, des produits consommables sont, à cet effet, quantitativement importants. 

Il s’observe donc un nombre débordant de vendeurs et vendeuses dans chaque marché, mettant du fait même le bureau- gestionnaire des marchés et même de la mairie dans l’incapacité de s’assurer de l’état sanitaire des uns et des autres. Et la production de déchets n’est pas toujours proportionnelle à la capacité journalière de leur évacuation.

Dans la mesure où, les marchés de Kolwezi ne font pas preuve de performance, en termes d’organisation d’un service éboueur. Cette situation coexiste drôlement avec la perception hebdomadaire de la « taxe de salubrité », jusqu’à prendre des dimensions inquiétantes. 

Aussi des cœurs sensibles ne s’empêchent-ils pas de tirer la sonnette d’alarme. Dans cet ordre d’idée, le Président des jeunes du Parti politique Action des Bâtisseurs pour la Démocratie et le Développement , Olivier Nawej s’est écrie depuis un temps :

« A Kolwezi, je n’ai pas encore assisté à une campagne sur la bonne tenue de l’environnement. Il est souhaitable que les autorités provinciales mais plus de la ville de Kolwezi s’y penchent en associant les médias, car les gens ont cultivé les réflexes primaires que l’insalubrité permanente est une menace à la santé publique ».

Rédaction


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